Bibliothèque d'Ordan-Larroque
home

Bibliothèque d'Ordan-Larroque

Le Petit Sauvage
JARDIN Alexandre
Alexandre Eiffel (!), par la magie d'un perroquet, voit son enfance lui sauter au visage, merveilleuse enfance brisée par la mort de ses parents. Il va tenter de la recréer en redevenant "le petit sauvage", tâche ardue mais qui fera de lui un homme vrai. Un conte de fée, illustré comme un livre de jeune.
Une Seconde Chance
JARDIN Alexandre
Tout le monde veut croire en l'amour éternel. Elle aussi y a cru à l'âge de dix-huit ans. Alors que leur dernière année universitaire touche à sa fin, Amanda et Dawson, unis par un amour sans limite, ne s'imaginent pas vivre l'un sans l'autre. De milieux sociaux très différents, ils luttent contre les préjugés de la petite ville d'Oriental en Caroline du Nord. Mais des événements imprévus vont les amener à emprunter des chemins radicalement différents. Vingt-cinq ans plus tard, Dawson vit seul tandis qu'Amanda est mariée et mère de trois enfants. À l'occasion des funérailles d'un ami commun, ils se retrouvent et découvrent que la passion qui les a unis est restée ancrée au plus profond d'eux-mêmes. Ils vont ainsi devoir comprendre leurs choix passés pour répondre à la question qui les hante : l'amour peut-il renaître de ses cendres ?
Le Zèbre
JARDIN Alexandre
Gaspard Sauvage, dit le Zèbre, refuse de croire au déclin des passions. Bien que notaire de province, condition qui ne porte guère aux extravagances, le Zèbre est de ces irréguliers qui vivent au rythme de leurs humeurs fantasques. Quinze ans après avoir épousé Camille, il décide de ressusciter l'ardeur des premiers temps de leur liaison. Insensiblement, la ferveur de leurs étreintes s'est muée en une complicité de vieux époux. Cette déconfiture désole Gaspard. Loin de se résigner, il part à la reconquête de sa femme. Grâce à des procédés cocasses et à des stratagèmes rocambolesques, il redeviendra celui qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être : l'Amant de Camille, l'homme de ses rêves. Même la mort pour lui n'est pas un obstacle.
Le Zubial
JARDIN Alexandre
Le jour où mon père est mort, le 30 juillet 1980, la réalité a cessé de me passionner. J'avais quinze ans, je m'en remets à peine. Pour moi, il a été tour à tour mon clown, Hamlet, d'Artagnan, Mickey et mon trapéziste préféré ; mais il fut surtout l'homme le plus vivant que j'ai connu. Pascal Jardin, dit le Zubial par ses enfants, n'accepta jamais de se laisser gouverner par ses peurs. Le Zubial avait le talent de vivre l'invivable, comme si chaque instant devait être le dernier. L'improbable était son ordinaire, le contradictoire son domaine. S'ennuyait-il au cours d'un dîner ? Il le déclarait aussitôt et quittait la table, en baisant la main de la maîtresse de maison. Désirait-il une femme mariée ? Il ne craignait pas d'en faire part à son époux, en public, et d'escalader la façade du domicile conjugal le soir même pour tenter de l'enlever. -- Publisher description.